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Par Sara Champagne, La Presse

18 juin, 2012

Le programme de FIV gratuite au Québec est coûteux et occasionnant de longues périodes d’attente dans les hôpitaux. Mais au OriginElle il n’y a pas de période d’attente.

La mise en oeuvre au Québec d’un programme de procréation assistée gratuit a entraîné un boom qui est en voie de coûter beaucoup plus cher que prévu: trois hôpitaux réclament 123 millions de dollars pour lancer un programme de fécondation in vitro (FIV).

L’obstétricien et gynécologue Seang Lin Tan est devenu une étoile de la fécondation in vitro en traitant Julie Snyder afin qu’elle puisse avoir des enfants. En plus d’être un chercheur reconnu et le directeur du Centre de reproduction McGill (CUSM), il dirige l’une des dernières cliniques privées du Québec à avoir obtenu l’accréditation pour offrir la gratuité aux femmes et couples infertiles.

Le Dr Tan et son collègue endocrinologue, le Dr Michael H. Dahan, ont fait faire le tour du proprio à La Presse. Leur clinique, située sur le boulevard Décarie à Montréal [OriginElle], est équipée de trois salles d’examen, d’une salle d’opération, d’un laboratoire et d’une salle d’incubateurs à la fine pointe de la technologie. «Ici, il n’y a aucun délai d’attente, affirme-t-il. Je dirais qu’au CUSM, l’attente est d’environ huit mois.»

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Par Nelson Wyatt, La Presse Canadienne, Montréal

18 août 2009

Céline Dion pourra réviser son répertoire de berceuses puisque la nouvelle à l’effet qu’elle était enceinte de son deuxième enfant a été confirmée mardi par le bureau de l’attachée de presse de la chanteuse québécoise.

L’arrivée de ce nouveau-né est attendue depuis neuf ans, lorsque la chanteuse étaient enceinte de son premier enfant, René-Charles. Lorsque ce dernier a été conçu grâce à la technique de la fertilisation in vitro (FIV) dans une clinique reconnue de New York, la chanteuse avait alors laissé savoir aux journalistes qu’un petit frère ou une petite soeur était également en route.

Un expert en fertilité du Centre de reproduction de l’Université McGill, le docteur Seang Lin Tan, a affirmé qu’il existait plusieurs cas documentés où des embryons congelés avaient été utilisés avec succès après plus de deux décennies.

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Par Margaret Munro, Canwest News Service

18 novembre 2008

Santé Canada se penche sur la régulation de diagnostic génétique pré-implantatoire, qui passe au crible les embryons de malformations congénitales.

VANCOUVER - Les embryons humains ont quelques jours lorsque les techniciens du centre de fertilité Genesis les placent sous un microscope et extraient très doucement deux cellules des minuscules amas de la vie naissante. Les embryons - et leurs parents inquiets - restent en Colombie-Britannique.

Les résultats sont de retour dans les 48 heures, a déclaré le Dr Albert Yuzpe, codirecteur de Genesis. Et ils déterminent quels embryons vivent et lesquels meurent.

Le centre de Vancouver est l’une des nombreuses cliniques de fertilité canadiennes offrant le test controversé appelé diagnostic génétique pré-implantatoire, ou DPI.

Le Centre de reproduction de l'Université McGill offre le seul test de préimplantation au Canada et traite environ 30 à 40 cas par an, a déclaré le directeur, Seang Lin Tan. La plupart des couples viennent du Québec, dit-il, mais un nombre croissant viennent de l'Ontario.

Les médecins disent que les «bébés de créateurs» sont la dernière chose à l’esprit des couples qui subissent un DPI.

«Je me fiche de savoir si vous êtes un milliardaire, vous ne voudrez pas passer par là si vous n’êtes pas obligé de le faire», déclare le Dr Hughes, qui a contribué à la création de PDG au début des années 90. Les couples recherchent le processus de DPI, disent les médecins, car ils veulent un bébé en bonne santé. Souvent, ils ont déjà perdu un enfant et ont 25% à 50% de chances de transmettre un gène pathogène à de futurs enfants. Ou, dit le Dr Tan, ils ont eu plusieurs fausses couches dues à des anomalies chromosomiques.

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